…L’histoire de la déportation que les Azerbaïdjanais ont subie sur le territoire de ce qui est aujourd’hui l’Arménie contemporaine couvre une période allant de 1820 à 1988.
L’expulsion des Azerbaïdjanais vivant Arménie a été un acte criminel de nature interethnique. Cette expulsion a été réalisée par des moyens brutaux à l’instigation d’organismes gouvernementaux.
Dans le sillage du premier conflit ethnique arméno – azerbaïdjanais du début du XXe siècle et du nettoyage ethnique conduit par les nationalistes arméniens, une partie considérable de la population azerbaïdjanaise a été expulsée de ce qui est aujourd’hui le territoire actuel de l’Arménie.
Les changements et le remplacement des noms des villages et des districts (231 villages et districts) par les noms arméniens sur les territoires de l’Azerbaïdjan de l’Ouest appellé aujourd’hui la République d’Arménie,
Ali Hassanov, vice-Premier ministre et président du Comité d’Etat en charge des réfugiés et des personnes déplacées a visité mardi les districts d’Aghdam et Fuzouli.
A la fin du IXe siècle, l’affaiblissement du pouvoir politique du Califat a conduit à l’émergence de nouveaux Etats indépendants et semi-indépendants. A cette époque-là, un nouvel Etat a été formé par la dynastie des Sadjides (898- 941).
Le monde de l’art au Karabagh, tout comme le mode d’existence de sa population sédentaire ou seminomade, s’est développé en liaison avec la culture commune à tout l’Azerbaïdjan, sur la base de celle des ethnies de langue turque.
Le livre «Haut Karabagh : les faits contre les mensonges» (НагорныйКарабах: фактыпротивлжи), écrit par Arsen Malik- Chahnazarov, qui est depuis 1993 conseiller du ministre des Affaires Etrangères de la prétendue République du Haut Karabagh, a été publié en 2009 aux éditions «Volsebniy Fonar» à Moscou avec un tirage de 3000 exemplaires.