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Arsen Malik Chahnazarov joue avec les mots et brouille les faits

14.07.2014

Le livre «Haut Karabagh : les faits contre les mensonges»  (НагорныйКарабах: фактыпротивлжи), écrit par Arsen Malik- Chahnazarov, qui est depuis 1993 conseiller du ministre des Affaires Etrangères de la prétendue République du Haut Karabagh, a été publié en 2009 aux éditions «Volsebniy Fonar» à Moscou avec un tirage de 3000 exemplaires.

IMG-20140603-WA0002La thèse principale de ce livre consiste à tenter de justifier le séparatisme arménien dans le Haut-Karabagh, avec le lot immense des destins brisés de centaines des milliers des personnes provoqué par les combats accompagnant ce séparatisme, la mort de dizaines de milliers de personnes et l’occupation des terres azerbaïdjanaises par les forces armées de l’Arménie. Pour atteindre son but, l’auteur développe un argumentaire bâti sur des postulats aussi absurdes que  «les Arméniens ont été les habitants originaires et les propriétaires du Haut-Karabagh», «le Haut Karabagh n’a jamais été une terre de l’Azerbaïdjan et il n’aurait été inclus que plus tard à la République soviétique d’Azerbaïdjan par les bolchéviques», «les Arméniens ont subi des discriminations de la part du gouvernement azerbaïdjanais», «le conflit est la conséquence de l’agression des Azerbaïdjanais», «les Arméniens du Haut-Karabagh ont occupé une partie du territoire de l’Azerbaïdjan qui compte environ 30 fois plus d’habitants et qui est 20 fois plus grand que le territoire de cette région, et qui a joui du soutien militaire de la Russie et d’autres pays », « les Arméniens du Haut-Karabagh ont été soumis à des agressions de l’armée soviétique et de la police de l’Azerbaïdjan ».

 Chahnazarov a essayé de combler le fossé entre ses prétentions et la réalité par une classique distorsion des faits, par l’exagération de certains et en passant sous silence certains autres. Les faits historiques ont été falsifiés par l’auteur. En présentant le déplacement massif des Arméniens vers la région d’Erevan, du Nakhitchevan et vers une partie du Haut-Karabagh, encouragé par la Russie tsariste à partir de l’Iran et de la Turquie, Chahnazarov a essayé de voiler les changements démographiques voulus et organisés dans la région en présentant la migration de ces Arméniens comme un retour vers leur foyer ancestral. Voilà pourquoi, il ne s’est pas appuyé sur le nombre total des Arméniens déplacés, mais il a présenté seulement les 40.000 Arméniens déplacés de l’Iran et n’a pas du tout abordé la statistique officielle qui fait état de 84.000 Arméniens déplacés de Turquie ; il n’a pas parlé non plus de ce qui se cachait derrière la démarche « humaniste » de la Russie tsariste qui installait les Arméniens dans leur « foyer ancestral » en les favorisant avec de la monnaie d’or et un large éventail de terres. L’auteur essaie d’expliquer le faible nombre d’Arméniens dans la région avant ces migrations par le fait qu’ils seraient morts massivement à cause des guerres, de la famine et des épidémies dans les époques antécédentes.

Chahnazarov s’efforce de maquiller les raisons du conflit du Haut-Karabagh en les présentant non pas comme la conséquence directe des tendances séparatistes d’Arméniens locaux, mais comme une réponse à la cruauté des Azerbaïdjanais contre les populations civiles arméniennes. Et il croit justifier l’expulsion brutale des Azerbaïdjanais de leur foyer ancestral en Arménie en alléguant d’une manière absurde qu’un groupe activiste issu du Parti Communiste d’Azerbaïdjan avaient forcé des centaines d’Azerbaïdjanais qui vivaient dans la région de Gafan en Arménie à venir en Azerbaïdjan pour les instrumentaliser à des fins politiques. D’une manière générale, dans ce livre, l’auteur se tait sur l’expulsion des centaines de milliers d’Azerbaïdjanais résidant en Arménie et sur les tragédies que ces Azerbaïdjanais ont traversées.

Dans la version de Chahnazarov, les Azerbaïdjanais sont présentés comme la partie qui a engagé les opérations militaires. L’auteur essaie de créer l’image selon laquelle, déjà, dès les premières années du conflit, l’Azerbaïdjan aurait armé toutes ses unités militaires au Nakhitchevan avec du matériel de contrebande provenant de Turquie, et qu’avec l’aide des troupes soviétiques qui se trouvaient dans ce territoire, ils auraient commis des crimes contre des civils arméniens sans défense. En réaction à ces actions les « forces d’autodéfense » des Arméniens n’auraient eu d’autre choix que d’attaquer les régions où vivaient les Azerbaïdjanais afin de sauver ces civils arméniens.

Les explications que l’auteur fournit pour éclairer la tragédie du 20 novembre à Garakend, le massacre du 20 janvier 1990 et la tragédie de Khodjaly, se distinguent par leur « originalité ». Chahnazarov, au lieu d’expliquer pourquoi et par qui a été  abattu, dans le village de Garakend, le 20 novembre 1991, l’hélicoptère civil qui transportait des hauts fonctionnaires de l’Azerbaïdjan, de la Russie et du Kazakhstan, il essaie d’éviter cette question essentielle et raconte que des forces non-identifiées sont venues sur le terrain du drame, ont pris des vidéos et auraient saisi des armes. L’auteur arménien présente les victimes du massacre de l’Armée Rouge à Bakou le 20 Janvier 1990 comme des participants au « pillage des Arméniens » et comme des victimes de tirs au jugé dans les rues, et il justifie ainsi le massacre lors de la répression à Bakou. Chahnazarov va plus loin encore en décrivant la tragédie de Khodjaly : il prétend que comme on a ouvert le feu à l’aube du côté opposé, les forces arméniennes n’auraient pas pu distinguer la population civile des militaires et ont tiré sur les habitants de Khodjaly : les cadavres des habitants de Khodjaly auraient été mutilés et terrorisés par les Azerbaïdjanais eux-mêmes.

 Etibar Goulousoy

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