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Discours du Heydar Aliyev à la réunion du 21 janvier 1990 à la Représentation permanente de la République d’Azerbaïdjan à – Moscou, consacrée à la tragédie du 20 janvier 1990

12.01.2015

Chers camarades,

Mesdames, Messieurs!

Comme vous savez de longues années j’ai été à la tête du parti de l’Azerbaïdjan, ai été élu membre du Bureau politique du Comité central du Parti communiste de l’URSS, je remplissais les fonctions du vice-président du Conseil des Ministres de l’URSS. Plus de deux ans je suis à la retraite, j’ai supporta l’infarctus et j’ai pris la retraite suite à la maladie. Dès le décembre 1982 je suis parti de l’Azerbaïdjan. Aujourd’hui pour la première fois j’ai franchi le seuil de la Représentation permanente de la République soviétique d’Azerbaïdjan à Moscou. Je suis venu ici conduit par la tragédie qui a eu lieu en Azerbaïdjan. Je l’ai appris hier et naturellement, je n’ai pas pu rester indifférent envers cet événement. J’y suis venu, ici à la Représentation qui est un îlot de la terre azérie à Moscou, tout d’abord pour exprimer mes condoléances à tout le peuple azerbaïdjanais suite à la tragédie qui causa de grosses pertes. Deuxièmement je veux exprimer mon attitude envers cette question. Je demande le Représentant permanent de l’Azerbaïdjan à Moscou Zohrab Ibraguimov de faire parvenir mes mots, ma douleur profonde mes condoléances sincères au peuple azerbaïdjanais. Malheureusement je ne dispose pas actuellement d’autre possibilité.

En ce qui concerne les évènements qui eurent lieu en Azerbaïdjan je les considère illégaux, allant à l’encontre de la démocratie, contredisant les principes de l’humanité et de la construction dans notre pays de l’Etat de droit. Il existe des raisons de cette situation en Azerbaïdjan. Je ne veux pas m’attarder sur les détails, cela aurait pris beaucoup de temps. Au cours de deux ans dure le conflit entre les deux nations, l’Azerbaïdjan et l’Arménie, qui a surgi à cause des évènements en Haut Karabakh et autour de lui. Deux ans est un délai suffisant pour que les chefs de l’Azerbaïdjan et de l’Arménie, l’administration du parti et politique du pays puissent régler cette question, puissent mettre fin à la guerre intestine, aux conflits interethniques et créer les conditions pour la vie libre de chaque personne, sans tenir compte de sa nationalité dans notre Union fédéral commune.

Moi je pense que pendant ces deux ans on n’a pas fait de démarches efficaces dans cette direction. Si au début des complications en Haut Karabakh ont été prises des mesures nécessaires en premier lieu par les chefs du parti, l’administration politique du pays aujourd’hui nous ne serions pas témoins de l’escalade de la tension et des pertes, qui ont lieu d’une part et d’autre au cours de ces deux ans et de l’action militaire commise la nuit du 19 au 20 janvier 1990 qui se dégénéra en victimes humaines.

Bien sûr avant tout c’est la faute de l’ancien premier Secrétaire du Comité centrale du parti communiste de l’Azerbaïdjan Vésirov. Pendant le délai de son mandat il n’a rien fait pour stabiliser la situation en Azerbaïdjan. Au contraire par ces actes erronés, son style de travail incohérent, ses manœuvres politiques fausses il s’opposa au peuple; il n’a pas pu gagner le prestige, il creusa le fossé entre lui et le peuple. Le peuple s’indignait. Lors des meetings à Bakou et dans d’autres villes et régions de l’Azerbaïdjan qui duraient plusieurs mois furent avancées les revendications de la destitution des chefs du parti de l’Azerbaïdjan. Il s’agissait en premier lieu de la destitution de Vésirov. Il n’est pas clair pourquoi cette question n’est pas réglée jusqu’à présent et ce n’est qu’hier après l’introduction des troupes à Bakou et le débâcle, Vésirov s’est littéralement enfui de l’Azerbaïdjan. C’est une grande faute. La plus grande faute est qu’un homme aussi inapte pour cette tâche fut en son temps nommé le premier Secrétaire du Comité centrale du Parti communiste de l’Azerbaïdjan. Mais ce n’est pas tout.

A présent je voudrais m’arrêter sur la tragédie qui a eu lieu la nuit du 19 au 20 janvier et dure jusqu’à présent. Je considère qu’il y avait des réserves du règlement politique de la situation en Azerbaïdjan. L’administration de l’Azerbaïdjan et les chefs politiques du pays n’ont pas usé de ces possibilités. On pourrait prévenir l’atteinte à la frontière. Puisque trois mois avant les gens ont avancé les revendications liées à la zone frontière. Mais personne n’a voulu les rencontrer, leur donner des explications et prendre des mesures correspondantes.

Je répète toutes les ressources n’ont pas été épuisées pour apaiser les gens. Si 2-3 mois avant la question du renforcement de l’administration du parti de l’Azerbaïdjan fut résolue, peut être la situation serait différente et il n’aurait besoin d’introduire les troupes. En tout cas je considère qu’il y ait eu les possibilités pour le règlement politique du problème, pour le dialogue avec le peuple. Cependant ces possibilités n’ont pas été utilisées et la nuit du 19 au 20 janvier le contingent important de l’Armée soviétique, des troupes du Ministère intérieur de l’URSS furent introduits à Bakou. Nous connaissons bien à présent les suites tragiques. J’estime la conduite des gens qui ont pris cette décision erronée du point de vue politique. On a commis une grosse faute politique. Ils n’étaient pas au courant de la situation dans la république, de la mentalité du peuple azéri. Ils n’avaient pas assez de contacts avec les différentes couches de la société. Ils ne pouvaient pas imaginer que cela va conduire à la tragédie.

Il fallait le prévoir et prendre les mesures nécessaires, il fallait calculer ce qui est plus important et plus utile. A propos il y a eu des infos sur plusieurs victimes parmi les militaires. La question se pose quel était le tort du gars russe envoyé sur la décision erronée des chefs du parti du pays pour étouffer la soi-disant révolte en Azerbaïdjan?

En Azerbaïdjan furent introduites les troupes de l’extérieur. Moi, je sais combien de troupes sont en Azerbaïdjan. Il y avait assez de troupes: 4ième armée, flottille marine de guerre militaire Caspienne, division des troupes de débarquement, troupes de la défense antiaérienne, troupes intérieures du Ministère des affaires intérieures. Est-ce qu’il avait un besoin d’y introduire des troupes supplémentaires? Au besoin on pourrait user des troupes qui y étaient déjà. L’administration de l’Azerbaïdjan qui a pris cette décision doit assumer la responsabilité et avant tout Vésirov qui s’est enfui de l’Azerbaïdjan. Doivent assumer la responsabilité ceux qui ont désinformé les chefs politique du pays. Je considère que les chefs politiques du pays ne disposaient pas à temps de l’information suffisante et objective. L’administration du pays fut trompée suite à cela la décision pareille fut prise.

Tous les gens étant en cause de cette tragédie doivent être punis.

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