Génocide
« Les dirigeants du parti « Dachnak », réunissant autour d’eux un grand nombre de détachements de volontaires armés, ont abattu impitoyablement des femmes, des enfants, des vieillards et des invalides dans les territoires turcs où la guerre faisait rage ».
A.Lalaian, « Sur les massacres de 1918-1920 », dans la revue « Revolutsionnye Vostok (l’Orient révolutionnaire) », n° 2-3. Moscou, 1936.
« Dès que le calme est revenu, je suis allé revoir Choucha. Du quartier turcophone, hormis des ruines, il ne restait rien dans la ville. Toutes les maisons avaient été incendiées et leurs occupants tués. On avait pratiqué de même dans les quartiers turcophones de Khankendi… A Bakou, avec l’aide des Anglais, les Arméniens avaient pris possession de cette grande ville pétrolière et avaient exterminé 25.000 turcophones ».
Fragment des souvenirs d’Ogannès Apressian. Léonard Rumslen Hardwill, « Ainsi sont les hommes. Les événements d’Azerbaïdjan en 1918-1922 dans les souvenirs d’un Arménien ». ed. Bobbs Meril Co, 1928. Indianapolis.
« Une des raisons fondamentales de l’apparition de l’inimitié entre les turcophones et les Arméniens est l’impitoyable cruauté que les nationalistes arméniens ont opposé à l’humanisme, à la sollicitude et au patriotisme des peuples turcs et azerbaïdjanais ».
L.Z. Surmalian, écrivain arménien vivant en Amérique. Extrait de son livre, « Ma relation avec vous, Mesdames et Messieurs ».
Traduit du site internet : http://www.armenianreality.narod.ru/armenians.html