« Bien que les coprésidents notent que les autorités de facto du Haut-Karabakh considèrent que cette procédure est un effort pour organiser la vie publique de leur population, ils soulignent à nouveau qu’aucun pays, y compris l’Arménie et l’Azerbaïdjan, ne reconnaît le Haut-Karabakh Comme un État indépendant et souverain. En conséquence, les coprésidents n’acceptent pas les résultats du référendum du 20 février comme affectant le statut juridique du Haut-Karabakh. Les coprésidents soulignent également que les résultats ne préjugent en rien le statut définitif du Haut-Karabakh ou le résultat des négociations en cours visant à parvenir à un règlement durable et pacifique du conflit du Haut-Karabakh. Les coprésidents prévoient de se rendre dans la région en mars », selon la déclaration.