Falsifiant les faits historiques, transformant la notion de droit à l’autodétermination en outil de manipulation des esprits, les Arméniens ont très souvent recouru au terrorisme et ils présentent les terroristes en héros de la guerre de libération nationale et en vengeurs du peuple. Les terroristes arméniens ont pu prendre possession des terres des autres peuples, les opprimer et les détruire, ainsi d’ailleurs que les Arméniens pensant d’une autre façon, et soumettaient à la terreur ceux qui refusaient de soutenir leurs actions.
Durant trois ans (1890–1892), l’organisation arménienne « Gnchak » a commis des opérations sanglantes à Zeytun et à Sasun (Empire ottoman) et a tué 65 mille Turcs et Kurdes désarmés. En novembre 1894, cette organisation a tué des civils musulmans dans la ville d’Adana (Empire ottoman) et de Maras (Empire ottoman), et dans les villages environnants. La ville de Kayseri , dans l’empire ottoman, et les villages alentours ont été soumis aux opérations de terreur menées par cette organisation arménienne. Les actions sanglantes du parti « Gnchak » se sont étalées d’octobre 1895 à janvier 1896. Sous la direction de Kafavian, d’Ambarsum Volcan et de Mirgan Damadian, les 2000 membres du « Gnchak » ont expulsé par la force des Turcs et Kurdes de leurs maisons. Selon les calculs de C. Libaridian, les terroristes arméniens ont perpétré 105 assassinats politiques en trois ans (1904- 1906), dont 56 contre des fonctionnaires et officiers arméniens, 32 contre des Russes, des Turcs et des Azerbaïdjanais.
En septembre 1904, des dizaines d’Azerbaïdjanais ont été tués à Bakou par les terroristes arméniens dans le cadre de chantage et de menaces. Selon les documents d’archives de l’hôpital de la ville de Mikhaylov, cet établissement a enregistré, le 6 février 1905, 18 morts et 33 blessés le 6 février 1905. 34 Azerbaïdjanais, 6 Russes, 6 Arméniens et 5 représentants d’autres peuples seront au nombre des victimes. Dans les jours suivants, les victimes se comptaient par centaines. La violence terroriste s’abattait sur les villes de Bakou et d’Irevan, avant de s’étendre à d’autres villes : Tbilissi (le 21 novembre 1905), à Gandja (en novembre 1905), à Nakhitchevan (en mai 1905), dans le Zanguezour, à Choucha, etc. Des centaines de villages azerbaïdjanais du Karabagh ont été détruits dans les années 1905- 1906.
La politique de nettoyage ethnique dont se sont rendues coupable les organisations terroristes arméniennes est d’une ampleur incroyable. Selon les calculs de G de Maleville, le nombre des Musulmans civils tués par les Arméniens en Anatolie du Nord en 1915 s’est élevé à 1,6 million. Selon les études de C. K. McCarthy, tout au long du déroulement des événements sanglants du début du XXe siècle, 2.5 millions de Musulmans ont été tués. Si nous y ajoutons les 400.000 musulmans tués par les Arméniens en Azerbaïdjan et les dizaines de Musulmans tués en Géorgie, nous arrivons à un chiffre vraiment effrayant.
Préparé par Gunduz Nasibov à la base de l’article “Le génocide commis en Azerbaïdjan et en Turquie par les Arméniens» de Irada Nouriyeva, (http://jurnal.org)