Au XIXe siècle, cette métropole est devenue la ville arménienne d’Irévan en recevant de milliers de familles arméniennes après la déportations de la Turquie et de l’Iran. Toutefois, en 1870, douze mille personnes y vivaient. En d’autres termes, il était plus petite que la ville de Choucha. Et les refugiés arméniens ont donné la préférence de chercher un travail à Bakou. (Lourie, Yerevan’s Phenomenon, p. 177-178).
Irevan est devenu une ville actuelle seulement après la suivante vague d’immigration plus intensive…
Dans les années 1918-1920, Irevana pu sauvgardé pendant un certain moment son indépendance et devenu la capitale de l’Arménie qui était l’abri pour les centaines de milliers Arméniens réfugiés d’Anadolu. En 1920, elle devint la capitale de l’Arménie soviétique. En 193,en voyage à Irevan, l’écrivain juif Artur la trouvait comme la colonie juive Kestler en Palestine, et il dit « …la majorité de la population turque sont les réfugiés et les immigrés venant de la Turquie, de l’Europe et de l’Amétique. Souvent, quand je demandais en mon russe brisé, ils me répondaient en allemand ou en français parfait… » (Koestler. The InvisibleWriting. P. 109).
…privé de son étatisme, le peuple s’est dispercé partout dans le monde.La République Socialiste soviétique d’Arménie était établie pour devenir la Patrie des Arméniens.
Thomas de Vaal
1905.az