Les Arméniens ont utilisé une photo prise lors de la tragédie perpétrée le 20 janvier 1990 à Bakou afin de promouvoir le soi-disant génocide arménien.
L’AzerTAc, Agence Télégraphique d’Etat d’Azerbaïdjan, a mis en évidence une nouvelle fraude des Arméniens. Ainsi, la photo des Azerbaïdjanais tués lors de la tragédie du 20 Janvier, publiée dans le journal «Al-Istiqama», organe de presse officiel du Conseil islamique suprême d’Irak, a été présentée comme celle des victimes du «génocide arménien» commis un siècle avant.
La même photo a été publiée aussi sur la page Facebook du Comité du Caire d’une organisation fondée pour célébrer le centenaire du soi-disant génocide arménien.
Il est à noter que cette photo, dont l’original est gardé dans les archives de l’AzerTAc, a été prise le 20 janvier 1990 par Ogtay Mammadov, photojournaliste de l’agence.
En fait, les Arméniens qui justifient le «génocide» par ce genre de «preuve» le nient sans même en prendre la moindre conscience. Imaginez, les médias publient un article sur le centenaire d’un événement, dans lequel a été installée la photo reflétant la tragédie du 20 Janvier, écrite avec du sang dans l’histoire du peuple azerbaïdjanais 25 ans avant. Y aurait-il de plus grandes fraudes que celle-ci ?
Ce n’est pas la première fois que les Arméniens font recours à ce genre de fraude évidente. Les prétendus promoteurs arméniens avaient présenté, quelque temps avant, les photos des génocides perpétrés contre les Azerbaïdjanais à Chamakhy, à Gouba en 1918 et celles du massacre commis à Khodjaly en 1992 comme les traces du soi-disant génocide arménien.
Les «férus» de médias arméniens, «spécialisés» dans l’art de la tromperie, ne se contentent pas de tromper les simples Arméniens, souffrants ou contaminés de maladie appelée «génocide», ils essaient aussi d’éveiller la pitié de la communauté internationale pour leur pseudo-drame et d’en profiter pour leurs objectifs malins. Mais, en dépit de tous leurs efforts, la vérité finit toujours par éclater.
AzerTAc